- EAN13
- 9782251915357
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 06/05/2021
- Collection
- Mémoires de Guerre
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Un casque bleu chez les Khmers rouges
Journal d’un soldat de la paix, Cambodge 1992
Guillaume Ancel
Les Belles Lettres
Mémoires de Guerre
Autre version disponible
-
Papier - Belles Lettres 19,50
Pour sa première mission extérieure, le capitaine Guillaume Ancel, 27 ans,
débarque en mai 1992 au Cambodge, pays ravagé par vingt années de guerre. Avec
les soldats de la mission de paix de l’APRONUC (Autorité Provisoire des
Nations Unies au Cambodge), il s’agit de faire appliquer les accords de Paris,
en commençant par désarmer les factions. Plus facile à dire qu’à faire.
Guillaume Ancel découvre un pays semé de mines et plongé dans le chaos. Le
tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré
par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour
les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n’en porte pas.
Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l’armée du monde » venus
de Chine, d’Amérique, du Népal, d’Italie ou d’Uruguay. Le récit de la
collaboration de ces hommes, au cœur des ténèbres, est une des lumières de ce
livre. Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans
concessions, comme les précédents ouvrages de l’auteur sur ses missions en ex-
Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les
dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.
débarque en mai 1992 au Cambodge, pays ravagé par vingt années de guerre. Avec
les soldats de la mission de paix de l’APRONUC (Autorité Provisoire des
Nations Unies au Cambodge), il s’agit de faire appliquer les accords de Paris,
en commençant par désarmer les factions. Plus facile à dire qu’à faire.
Guillaume Ancel découvre un pays semé de mines et plongé dans le chaos. Le
tiers de sa population a disparu, en grande partie durant le génocide perpétré
par les Khmers rouges. Sa mission : rencontrer certains de leurs chefs pour
les amener à déposer les armes. Lui, en tant que négociateur n’en porte pas.
Chef de patrouille, il est à la tête de soldats de « l’armée du monde » venus
de Chine, d’Amérique, du Népal, d’Italie ou d’Uruguay. Le récit de la
collaboration de ces hommes, au cœur des ténèbres, est une des lumières de ce
livre. Un casque bleu chez les Khmers rouges est aussi un témoignage sans
concessions, comme les précédents ouvrages de l’auteur sur ses missions en ex-
Yougoslavie ou au Rwanda. Guillaume Ancel ne tait ici ni les travers ni les
dérives, parfois terribles, de ceux qui sont venus faire la paix.
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