- EAN13
- 9791096622627
- Éditeur
- Editions Plumes Solidaires
- Date de publication
- 12/2019
- Collection
- Plumes anciennes
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791096622627
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Papier - PLUMES SOLIDAIR 18,90
Au milieu du 19e siècle, aux États-Unis, l'avancée des colons blancs atteint
la région des Black Hills et des grandes plaines.
Le soir de ses fiançailles, la jeune Emma London, issue de la bourgeoisie de
Chicago, est enlevée par une bande de Sioux Lakotas. Emmenée de force au
village indien, Emma y restera prisonnière durant près de huit mois : huit
mois de révolte et de confrontation avec ses ravisseurs, mais aussi de
découverte d'un peuple paradoxalement attachant, au cœur duquel naîtra un
improbable amour.
Écartelée entre ses origines et une société qui la fascine, Emma va devoir
choisir.
Ce choix ne se fera pas sans danger...
AVIS
"Un formidable coup de cœur. Une lecture dépaysante, pleine d’humanité et de
noblesse des sentiments, qui pousse à la réflexion, qui fait réagir. Il y a
des romans comme ça que l'on verrait bien adapté sur grand écran : celui-là en
fait partie."
Blog "Marie-Nel Lit"
"Black Hills est un magnifique texte à la mémoire d'un peuple qui a encore des
choses à nous apprendre, un historique légèrement romancé qui adoucit une dure
réalité."
Blog "Chroniques livresques"
EXTRAIT 1
Ainsi, les Peaux-Rouges et les Visages pâles avaient cohabité durant des
années, s’observant sans se rejeter, sans s’aimer non plus, même si quelques
idylles de circonstances virent le jour entre des trappeurs et de jeunes
squaws avides de nouveauté et peu rebutées par la crasse des blancs dont le
manque d’hygiène stupéfiait les indigènes. Mais les arrivées de migrants
s’intensifièrent avec les années. Après les trappeurs qui opéraient en petites
bandes discrètes, des troupes plus nombreuses comprenant des femmes et des
enfants traversèrent le territoire des Lakotas à bord de lourds chariots
bâchés. Ceux-là ne faisaient que passer, gagnant les terres de l’ouest, mais
ils firent fuir les bisons, source essentielle de la survie des indigènes, et
souillèrent la terre sur leur passage.
EXTRAIT 2
22 Mai 1845.
D’abord, il y a la mazurka qui n’en finit pas, qui emplit le silence de la
nuit. Et puis les lumières qui s’opposent à la nuit. Des chandeliers,
nombreux, dans toutes les pièces. De loin, la grande bâtisse semble une île de
clarté dans une mer d’obscurité. La bourgade aux maisons de bois dort partout
sauf ici. Ce n’est pas là le quotidien de la prestigieuse demeure, cette nuit
diffère des autres. Au son de la mazurka, James Bentley, le riche
propriétaire, fête les fiançailles de son fils, David, et de la ravissante
Emma London, fille de feu Edward London de Chicago. Emma est arrivée depuis
quelques semaines, pour la circonstance et pour s’accoutumer à une région de
l’ouest si différente de ce qu’elle connaît. Jusqu’à ce jour, la petite ville
d’Oxfield ne représentait pour elle qu’un point sur la carte muette du centre
des États, une parcelle de vie dans ce qu’elle considérait comme un désert
lointain et vaguement exotique. À son arrivée, elle a malgré tout exprimé son
éblouissement devant la majestueuse beauté des collines herbeuses et des
montagnes au vert sombre, envoûtantes, qui ferment l’horizon.
la région des Black Hills et des grandes plaines.
Le soir de ses fiançailles, la jeune Emma London, issue de la bourgeoisie de
Chicago, est enlevée par une bande de Sioux Lakotas. Emmenée de force au
village indien, Emma y restera prisonnière durant près de huit mois : huit
mois de révolte et de confrontation avec ses ravisseurs, mais aussi de
découverte d'un peuple paradoxalement attachant, au cœur duquel naîtra un
improbable amour.
Écartelée entre ses origines et une société qui la fascine, Emma va devoir
choisir.
Ce choix ne se fera pas sans danger...
AVIS
"Un formidable coup de cœur. Une lecture dépaysante, pleine d’humanité et de
noblesse des sentiments, qui pousse à la réflexion, qui fait réagir. Il y a
des romans comme ça que l'on verrait bien adapté sur grand écran : celui-là en
fait partie."
Blog "Marie-Nel Lit"
"Black Hills est un magnifique texte à la mémoire d'un peuple qui a encore des
choses à nous apprendre, un historique légèrement romancé qui adoucit une dure
réalité."
Blog "Chroniques livresques"
EXTRAIT 1
Ainsi, les Peaux-Rouges et les Visages pâles avaient cohabité durant des
années, s’observant sans se rejeter, sans s’aimer non plus, même si quelques
idylles de circonstances virent le jour entre des trappeurs et de jeunes
squaws avides de nouveauté et peu rebutées par la crasse des blancs dont le
manque d’hygiène stupéfiait les indigènes. Mais les arrivées de migrants
s’intensifièrent avec les années. Après les trappeurs qui opéraient en petites
bandes discrètes, des troupes plus nombreuses comprenant des femmes et des
enfants traversèrent le territoire des Lakotas à bord de lourds chariots
bâchés. Ceux-là ne faisaient que passer, gagnant les terres de l’ouest, mais
ils firent fuir les bisons, source essentielle de la survie des indigènes, et
souillèrent la terre sur leur passage.
EXTRAIT 2
22 Mai 1845.
D’abord, il y a la mazurka qui n’en finit pas, qui emplit le silence de la
nuit. Et puis les lumières qui s’opposent à la nuit. Des chandeliers,
nombreux, dans toutes les pièces. De loin, la grande bâtisse semble une île de
clarté dans une mer d’obscurité. La bourgade aux maisons de bois dort partout
sauf ici. Ce n’est pas là le quotidien de la prestigieuse demeure, cette nuit
diffère des autres. Au son de la mazurka, James Bentley, le riche
propriétaire, fête les fiançailles de son fils, David, et de la ravissante
Emma London, fille de feu Edward London de Chicago. Emma est arrivée depuis
quelques semaines, pour la circonstance et pour s’accoutumer à une région de
l’ouest si différente de ce qu’elle connaît. Jusqu’à ce jour, la petite ville
d’Oxfield ne représentait pour elle qu’un point sur la carte muette du centre
des États, une parcelle de vie dans ce qu’elle considérait comme un désert
lointain et vaguement exotique. À son arrivée, elle a malgré tout exprimé son
éblouissement devant la majestueuse beauté des collines herbeuses et des
montagnes au vert sombre, envoûtantes, qui ferment l’horizon.
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