- EAN13
- 9782140227950
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 22/09/2023
- Collection
- L'Autre Amérique
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Moi, Guido Boggiani, le blanc indien
Traduction des journaux de voyage de Guido Boggiani et fictions d'Éric Courthès
Eric Courthès
L'Harmattan
L'Autre Amérique
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782140227950
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
20.99
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 28,00
À la fois auteur et traducteur, Éric Courthès alterne, dans ces pages,
mémoires apocryphes et traductions des journaux de voyage de Guido Boggiani.
En recourant à la fiction, il rend compte, dans toute sa vigueur et sa
singularité, du trajet du jeune peintre et explorateur italien « un de ces
êtres sortis du moule du possible et du commun » (I. Ráfols) qui périt
tragiquement en 1902, tué par les autochtones dans le Chaco paraguayen. De
fait, Boggiani, auquel Métraux et Lévi-Strauss nhésitent pas à se référer,
laissa de nombreux dessins, peintures et photos de ces confins paraguayens et
brésiliens et de leurs habitants. Entretenant des échanges commerciaux et
artistiques avec ces derniers, adoptant leur mode de vie, il fut dans ses
études ethnographiques un pionnier du travail de terrain et de lusage de la
photographie quil mania avec succès mais qui causa vraisemblablement sa
perte. « Ce roman enthousiaste nous convainc du fait quil est encore possible
davoir un amour avec le monde, une aventure avec la nature, et daimer son
prochain, dans toutes ces acceptions possibles. » (Irina Ráfols, préface)
mémoires apocryphes et traductions des journaux de voyage de Guido Boggiani.
En recourant à la fiction, il rend compte, dans toute sa vigueur et sa
singularité, du trajet du jeune peintre et explorateur italien « un de ces
êtres sortis du moule du possible et du commun » (I. Ráfols) qui périt
tragiquement en 1902, tué par les autochtones dans le Chaco paraguayen. De
fait, Boggiani, auquel Métraux et Lévi-Strauss nhésitent pas à se référer,
laissa de nombreux dessins, peintures et photos de ces confins paraguayens et
brésiliens et de leurs habitants. Entretenant des échanges commerciaux et
artistiques avec ces derniers, adoptant leur mode de vie, il fut dans ses
études ethnographiques un pionnier du travail de terrain et de lusage de la
photographie quil mania avec succès mais qui causa vraisemblablement sa
perte. « Ce roman enthousiaste nous convainc du fait quil est encore possible
davoir un amour avec le monde, une aventure avec la nature, et daimer son
prochain, dans toutes ces acceptions possibles. » (Irina Ráfols, préface)
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