- EAN13
- 9782336451541
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 25/04/2024
- Collection
- Accent tonique - Poésie
- Fiches UNIMARC
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En attendant Ulysse - Esperando a Ulises
Anthologie poétique - Antología poética
María Elena Blanco
L'Harmattan
Accent tonique - Poésie
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782336451541
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
13.99
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Papier - L'Harmattan 18,00
Selon le poète chilien Raúl Zurita, la poésie de María Elena Blanco « se situe
bien au-dessus de la pluralité des tendances qui, du baroque de Lezama à l
’anti-poésie de Nicanor Parra, ont prédominé dans la poésie en espagnol au
cours des dernières décennies […], tout en les réinventant dans un agencement
textuel où les échos, les résonances internes, les contrepoints atteignent une
virtuosité qui touche à la maîtrise, sans jamais tomber dans le vice de
l’abstraction ».
Pour sa part, Manuel Vázquez Portal, poète et critique cubain, met en relief
son « évocation d’une Ithaque où elle n’a ni attendu ni tissé, mais dont elle
s’est échappée pour inventer sa propre odyssée ». Mabel Cuesta, poète et
professeure cubaine, souligne aussi cette vocation du voyage qui, « en même
temps qu’elle se rattache à la tradition littéraire la plus ancienne, elle se
prête ici à la tentative ontologique de reconstruire l’être dispersé et
toujours nostalgique de l’Eden perdu », une démarche que la critique et
professeure cubaine Ana María Hernández qualifie de « voyage initiatique ».
Et William Navarrete, poète et romancier cubain résidant à Paris, conclut que
« de tout ce cosmopolitisme, qui a été aussi sa propre vie et sa richesse,
Blanco sort renforcée. Son vers devient une symphonie multiple et sa voix
résonne dans nos propres souvenirs et lectures. La lire, c’est découvrir
derrière chaque strophe une histoire savante, un voyage incessant entre le
passé et le présent, un geste de modestie et, surtout, d’une très sobre
élégance ».
bien au-dessus de la pluralité des tendances qui, du baroque de Lezama à l
’anti-poésie de Nicanor Parra, ont prédominé dans la poésie en espagnol au
cours des dernières décennies […], tout en les réinventant dans un agencement
textuel où les échos, les résonances internes, les contrepoints atteignent une
virtuosité qui touche à la maîtrise, sans jamais tomber dans le vice de
l’abstraction ».
Pour sa part, Manuel Vázquez Portal, poète et critique cubain, met en relief
son « évocation d’une Ithaque où elle n’a ni attendu ni tissé, mais dont elle
s’est échappée pour inventer sa propre odyssée ». Mabel Cuesta, poète et
professeure cubaine, souligne aussi cette vocation du voyage qui, « en même
temps qu’elle se rattache à la tradition littéraire la plus ancienne, elle se
prête ici à la tentative ontologique de reconstruire l’être dispersé et
toujours nostalgique de l’Eden perdu », une démarche que la critique et
professeure cubaine Ana María Hernández qualifie de « voyage initiatique ».
Et William Navarrete, poète et romancier cubain résidant à Paris, conclut que
« de tout ce cosmopolitisme, qui a été aussi sa propre vie et sa richesse,
Blanco sort renforcée. Son vers devient une symphonie multiple et sa voix
résonne dans nos propres souvenirs et lectures. La lire, c’est découvrir
derrière chaque strophe une histoire savante, un voyage incessant entre le
passé et le présent, un geste de modestie et, surtout, d’une très sobre
élégance ».
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