La Machine à Penser - Tome 4
EAN13
9782385011321
Éditeur
OXYMORON Éditions
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Fiches UNIMARC
S'identifier

La Machine à Penser - Tome 4

OXYMORON Éditions

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782385011321
    • Fichier EPUB, libre d'utilisation
    • Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
    • Lecture en ligne, lecture en ligne
    0.99
Contient :

*10* Le mystère de la grande auto

Jamais un être au physique aussi insignifiant n’avait inspiré autant de
respect pour ses nombreux diplômes – docteur en philosophie, en droit, en
médecine... – et son incroyable capacité à résoudre les plus grands mystères
que le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen.

Malgré sa petite taille, sa maigreur, ses rides, son énorme tête et son
immense front surmonté d’un casque de cheveux jaune paille, ses grosses
lunettes derrière lesquelles des yeux bleus continuellement plissés vous
observent sans ménagement, son caractère grincheux et sa façon de vous parler
sans ambages, le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen en imposait tant qu’on
le surnommait « La Machine à Penser ».

Sa logique implacable lui valait d’être souvent dérangé par la police ou par
le journaliste Hutchinson Hatch pour les aider à découvrir la clé d’énigmes
indéchiffrables.

Il interrompt alors de mauvaise grâce ses expériences, accepte de quitter son
laboratoire pour apporter les réponses aux questions bien que la plupart du
temps, il lui suffit, pour cela, de prendre connaissance des divers éléments
de l’affaire, n’hésitant pas à envoyer le reporter les chercher à sa place.

En effet, pour lui, un crime n’est qu’une équation parmi tant d’autres, qui
trouve sa solution par un examen minutieux des différentes données et un
simple calcul.

Car, comme il aime à le répéter : « Deux et deux font quatre. Jamais parfois,
ou quelques fois, mais toujours quatre ! »

Le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen, alias « La Machine à Penser », est
un personnage créé par l’écrivain américain Jacques FUTRELLE.

Il apparaît en 1905 et résout une cinquantaine de « problèmes » avant que son
auteur ne disparaisse au petit matin du 15 avril 1912 dans les eaux glacées de
l’océan Atlantique Nord dans le naufrage du « Titanic » sur lequel il avait
embarqué avec son épouse pour rentrer d’un voyage en Europe.

Sa femme, Lily May PEEL, survécut à la catastrophe en montant dans un canot de
sauvetage, emportant avec elle une partie des derniers manuscrits de son mari,
dont quelques-uns des « problèmes » de « La Machine à Penser » qu’il avait
écrits durant son ultime périple.

Si quelques récits furent traduits en français depuis, la grande majorité
demeurait, jusqu’alors inaccessible aux lecteurs francophones.

Ce n’est plus le cas désormais...
S'identifier pour envoyer des commentaires.