- EAN13
- 9782756109503
- Éditeur
- Léo Scheer
- Date de publication
- 09/09/2015
- Collection
- Documents
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Léo Scheer 15,00
La justice française est à bout de souffle. Faut-il se résigner à son
abaissement?? C’est ce que les politiques, de réformettes en reculs, semblent
penser, comme s’ils avaient oublié l’enjeu vital qu’elle représente pour la
démocratie. Jean-Claude Magendie, qui a été jusqu’à une date récente l’un des
plus hauts magistrats français, profite de sa liberté de parole retrouvée pour
analyser les dysfonctionnements de cette institution à la dérive et tracer les
lignes de force de la refondation qui pourrait encore la sauver. Son essai
clair et synthétique, diagnostic précis, fondé sur l’expérience la plus
concrète, est, au-delà de l’angoisse et de la colère qui le portent, un
programme d’action, le premier de cette ampleur qui soit proposé par un acteur
majeur du système judiciaire. Jean-Claude Magendie est né en 1945 à Pau. Il a
été président du Tribunal de grande instance de Paris de 2000 à 2007, puis
premier président de la Cour d’appel de Paris jusqu’à sa retraite en 2010.
abaissement?? C’est ce que les politiques, de réformettes en reculs, semblent
penser, comme s’ils avaient oublié l’enjeu vital qu’elle représente pour la
démocratie. Jean-Claude Magendie, qui a été jusqu’à une date récente l’un des
plus hauts magistrats français, profite de sa liberté de parole retrouvée pour
analyser les dysfonctionnements de cette institution à la dérive et tracer les
lignes de force de la refondation qui pourrait encore la sauver. Son essai
clair et synthétique, diagnostic précis, fondé sur l’expérience la plus
concrète, est, au-delà de l’angoisse et de la colère qui le portent, un
programme d’action, le premier de cette ampleur qui soit proposé par un acteur
majeur du système judiciaire. Jean-Claude Magendie est né en 1945 à Pau. Il a
été président du Tribunal de grande instance de Paris de 2000 à 2007, puis
premier président de la Cour d’appel de Paris jusqu’à sa retraite en 2010.
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