L’indice de progrès véritable du Québec, Quand l’économie dépasse l’écologie
EAN13
9782895449782
Éditeur
Éditions MultiMondes
Langue
français
Fiches UNIMARC
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L’indice de progrès véritable du Québec

Quand l’économie dépasse l’écologie

Éditions MultiMondes

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782895449782
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    28.99
Avec la publication de ce livre de l’ex-Commissaire au développement durable,
Harvey L. Mead, le Québec dispose maintenant d’un outil pour évaluer son
véritable progrès. Auparavant, il était impossible de le faire, tout
simplement parce que l’Indice de progrès véritable (ou IPV) n’existait pas
pour le Québec ! Conçu pour corriger le PIB lorsque ce dernier est utilisé
pour évaluer le développement, l’indice de progrès véritable fait intervenir
dans le calcul les nombreux coûts du développement ignorés par le PIB, et
tient également compte de contributions non marchandes et non reconnues par le
PIB. Ce livre explore à fond la situation dans tous les domaines économiques,
environnementaux et sociaux importants. Il montre à quel point le recours de
l’ensemble des acteurs de la société au Produit intérieur brut (PIB) pour
mesurer leurs résultats et pour guider leurs décisions d’avenir aboutit à un
cul-de-sac. Les contradictions dans les discours abondent. Les décideurs et
les économistes proclament que les risques des ménages atteignent des sommets,
mais continuent à encourager les consommateurs à poursuivre leurs dépenses. «
Il en va de la reprise, voire de la survie de l’économie », affirment-ils. Ils
proclament également leurs préoccupations pour l’environnement, mais
poursuivent de plus belle et de la même manière – paradigme oblige – la
croissance suivie par le PIB et qui est responsable de l’ensemble des crises
actuelles. L’indice de progrès véritable du Québec. Quand l’économie dépasse
l’écologie comprend une vingtaine de chapitres sur autant d’aspects du
développement du Québec depuis la Révolution tranquille. Pour chacun, il
présente une analyse des « externalités » sociales et environnementales qui
minent notre avenir, mais dont le PIB ne tient pas compte, pas plus que les
milieux financiers, économiques et politiques. Pour chaque composante de
l’indice, il présente un portrait des coûts en cause et un calcul de la valeur
monétaire de ces coûts. Le résultat montre que notre « progrès » est environ
la moitié de ce qui est maladroitement signalé par le PIB actuel et que même
ce progrès est à risque face au dépassement de l’empreinte écologique de la
société, des sociétés, et aux tendances des principaux paramètres de notre
développement. Parmi ceux-ci, le livre met en évidence l’importance des coûts
des émissions de gaz à effet de serre du Québec tout comme ceux du chômage
dont le niveau dépasse l’acceptable depuis des décennies et va de pair avec la
croissance.
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