Série Braïda, 1, La Chair de la Salamandré
EAN13
9782916488400
ISBN
978-2-916488-40-0
Éditeur
La Louve
Date de publication
Collection
ROMANS
Séries
Série Braïda (1)
Nombre de pages
400
Dimensions
19,1 x 13 x 0,1 cm
Poids
430 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

1 - La Chair de la Salamandré

La Louve

Romans

Indisponible

Autres livres dans la même série

Roman noir, polar médiéval, ce livre est une immersion dans l’univers de la banque, du commerce et de l’usure pratiqués entre autres par les puissants banquiers cahorsins au XIII° siècle. C’est aussi une descente vertigineuse au cœur d’une famille dans laquelle chacun – et peut-être surtout chacune – a quelque chose à cacher, où la révélation de secrets jusque-là profondément enfouis pourrait bien provoquer la pire des catastrophes. Mais si La chair de la Salamandre est un roman noir, au dénouement aussi surprenant que sordide, c’est également un récit toujours drôle, riche d’ironie et d’humour (noir évidemment), qui nous fait parcourir les rues de cités opulentes et dangereuses et nous emporte au long des rivières redoutables qui menaient les gabarres, souvent chargées de vin, vers Bordeaux et l’Atlantique.
Documenté, respectueux de l’époque, cet ouvrage réjouissant nous fait croiser la route aléatoire de nombreux personnages qui, pour être parfois fort inquiétants, n’en sont pas moins le plus souvent truculents, voire complètement loufoques. Situations abracadabrantes et dialogues absurdes se succèdent, tandis que le drame se joue et que le maître des Enfers rôde, à la recherche de proies…



« Le vieillard, d’abord indifférent, le regarda ensuite des pieds à la tête, stupéfait par son état. Il avait piètre mine, le jeune homme. Il sortait tout droit des eaux du port, cela se voyait et même se sentait : le palefrenier pinça les narines comme si son visiteur lui avait été amené par la marée d’équinoxe.
On n’avait pas encore sonné complies qu’Arnaut d’Albas se trouvait déjà loin de Bordeaux, galopant à bride abattue sur les berges de Garonne. Le palefrenier, lui, plaignait sincèrement son cheval : la pauvre bête devait avoir l’impression d’être montée par un banc de harengs… »
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Commentaires des lecteurs

Conseillé par
24 septembre 2010

À Cahors, en 1221, une série d'accidents tragiques est taxée de surnaturel. Un échafaudage s'effondre et c'est le vent qui a tué. Un noyé est tiré de la rivière et c'est l'eau qui a tué. Un cadavre est rempli jusqu'à ...

Lire la suite